Cheminements culturels
La Maison de l’Ecologie. Saint-Étienne, France______________________
Réaliser une recherche-action sur ce que pourraient être les marchés du futur. S’inscrire dans le cadre de la future extension des marchés de producteurs (Place Albert Thomas, Place Waldeck Rousseau, Place Dorian, Place Carnot, square Violette) Conception d’étals, signalétique, prise en compte de la dimension urbanistique. Pour ce projet, nous avons fait un travail sur terrain le jour du marché de producteurs locaux, nous avons relevé pratiquement tous les types de étals et tréteaux, nous avons observé les usages et habitudes, nous avons aussi parlé avec les producteurs, en demandant son avis sur un possible extension du marche Place Albert Thomas à la place de Waldeck Rousseau.
Nous avons conclu que il n y a rien d’authentiquement écologique que les Paniers et cagettes traditionnelles comme étals, ça n’a pas empêché de réaliser quelques scénarios issus d’un analyse urbain du marché du futur, le principe est la re-qualification du parking des ursules par moyen des étals intégrés aux barrières de parking rabattables.
Considérer l’accès en mode doux aux lieux culturels emblématiques de la ville
(Médiathèque /Comédie / cinémas d’art et d’essai / Opéra théâtre…). Proposer une unité d’indication renvoyant aux capacités des personnes (rythme/âge) et une animation des parcours conception de signalétique, conception d’objets d’animation, prise en compte de la dimension urbanistique. L’objectif centré sur l’accès aux lieux culturels vise à rendre, dans un premier temps, la mise en oeuvre du projet plus efficient ; sachant que le territoire est maillé d’autres lieux structurants (Mairie, pôles d’échanges, centres administratifs…).
L’objectif suivant vise à prendre en compte la diversité des publics et l’idée que les parcours piétonniers doivent faire l’objet d’un JALONNEMENT, La pratique des modes doux nécessite un marquage continu des itinéraires. Dans l’analyse d’urbanisme il est défini les périphéries d’un réseau de circulations (piéton, vélo, handicapé), les différents circuits continus autour le carré piéton du coeur de ville, les ruptures, les différentes typologies de sites, la fréquentation des lieux…. Ensuite on avait proposé des scénarios sur une continuité d’information à l’échelle d’un piéton (on a constaté que la signalétique existent révèle une échelle faite plutôt pour les voitures).
Nous avons travaillé les concepts de « lieux boussoles » (ou lieux emblématiques) et rythmes de jalonnement. Nous avons défini la notion d’espace-temps avec une unité abstraite, une chiffre que représente une centaine de mètres en lien avec un minute (un calcul approximatif: 1 = 100 metres = 1 minute).
Les commentaires sont fermés, mais les trackbacks et pingbacks sont toujours ouverts.